TUNIS, 8 sept 2009 (TAP) - La Tunisie a été classée, par le rapport annuel du Forum économique mondial sur la compétitivité globale (2009-2010) , première en Afrique et 40ème dans le monde sur un total de 133 pays listés.
Ce classement, rendu public mardi, est établi sur la base d'une douzaine de critères qualitatifs et quantitatifs : environnement institutionnel (contexte juridique et administratif), stabilité macro-économique, infrastructure, santé et enseignement primaire, innovation, efficience des marchés (financier, de travail, et des biens), aptitude technologique, taille du marché, sophistication des affaires, enseignement supérieur et formation.
En Afrique, la Tunisie devance l'Afrique du Sud (45ème), l'Egypte (70ème), le Maroc (73ème), l'Algérie (83ème) et la Libye(88ème).
Dans la Zone Euro, elle fait mieux que le Portugal (43ème), la Pologne (46ème), la Slovaquie(47ème), l'Italie(48ème), la Hongrie (58ème), la Turquie (61ème), la Roumanie (64ème) et la Grèce (71ème).
Par sous rubriques, la Tunisie a été classée 5ème au plan mondial, en matière de bonne gestion des dépenses publiques, 7ème en matière de qualité de l'enseignement supérieur scientifique, 8ème en matière du coût de la politique agricole, 9ème en matière de disponibilité des scientifiques et des ingénieurs et 11ème en matière de protection des intérêts des boursicoteurs.
Le même rapport révèle que la Tunisie réalise d'autres performances sur le plan institutionnel. Elle a été ainsi classée 16ème en matière de confiance du public dans les décisions politiques et 18ème à l'échelle mondiale, en matière d'impartialité des décisions gouvernementales.
La Tunisie réalise, également, un très bon score dans le domaine de la stabilité macroéconomique (55ème). Elle gagne ainsi 20 places, par rapport au classement de l'année écoulée (75ème).
Les résultats du rapport ont été présentés, mardi, à Tunis, par M.Slim Zarrouk, président de la cellule des jeunes membres de l'Institut arabe des chefs d'entreprises( CJM-IACE), lors d'un point de presse.
Avec ce bon classement, l'économie tunisienne prouve plus que jamais, sa capacité de résister aux chocs exogènes et de surmonter, à la faveur des mesures présidentielles prises en temps opportun, les effets pervers de la crise financière internationale.
Ce classement, rendu public mardi, est établi sur la base d'une douzaine de critères qualitatifs et quantitatifs : environnement institutionnel (contexte juridique et administratif), stabilité macro-économique, infrastructure, santé et enseignement primaire, innovation, efficience des marchés (financier, de travail, et des biens), aptitude technologique, taille du marché, sophistication des affaires, enseignement supérieur et formation.
En Afrique, la Tunisie devance l'Afrique du Sud (45ème), l'Egypte (70ème), le Maroc (73ème), l'Algérie (83ème) et la Libye(88ème).
Dans la Zone Euro, elle fait mieux que le Portugal (43ème), la Pologne (46ème), la Slovaquie(47ème), l'Italie(48ème), la Hongrie (58ème), la Turquie (61ème), la Roumanie (64ème) et la Grèce (71ème).
Par sous rubriques, la Tunisie a été classée 5ème au plan mondial, en matière de bonne gestion des dépenses publiques, 7ème en matière de qualité de l'enseignement supérieur scientifique, 8ème en matière du coût de la politique agricole, 9ème en matière de disponibilité des scientifiques et des ingénieurs et 11ème en matière de protection des intérêts des boursicoteurs.
Le même rapport révèle que la Tunisie réalise d'autres performances sur le plan institutionnel. Elle a été ainsi classée 16ème en matière de confiance du public dans les décisions politiques et 18ème à l'échelle mondiale, en matière d'impartialité des décisions gouvernementales.
La Tunisie réalise, également, un très bon score dans le domaine de la stabilité macroéconomique (55ème). Elle gagne ainsi 20 places, par rapport au classement de l'année écoulée (75ème).
Les résultats du rapport ont été présentés, mardi, à Tunis, par M.Slim Zarrouk, président de la cellule des jeunes membres de l'Institut arabe des chefs d'entreprises( CJM-IACE), lors d'un point de presse.
Avec ce bon classement, l'économie tunisienne prouve plus que jamais, sa capacité de résister aux chocs exogènes et de surmonter, à la faveur des mesures présidentielles prises en temps opportun, les effets pervers de la crise financière internationale.