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Nous ne le répèterons jamais assez : le développement de la Tunisie n’est pas la seule responsabilité du gouvernement. Il est la responsabilité de tous, gouvernement, administration, patrons et travailleurs. Nous en avons appelé à l’administration et aux patrons de ne plus regarder ce qui se passe en Tunisie en chiens de faïence, d’être initiateurs et non plus réactifs, de construire pour ne plus faire du replâtrage et de faire du préventif pour ne plus faire du curatif. Et la centrale syndicale ouvrière (UGTT) dans tout cela ?
La Tunisie a fait le choix d’une économie de libre-échange, et cela ne date pas de 2010 ou 2011. Le choix a été fait et approuvé par tous, depuis 1995, lorsque la Tunisie avait été le premier pays de la région à signer avec l’Union Européenne. On est encore en Tunisie certes, dans le cadre protecteur de l’Etat-providence, mais l’entreprise publique a depuis longtemps et jusqu’à présent, démontré sa non viabilité économique, et s’il en existe encore quelques une, elles sont dans des secteurs stratégiques ou bien sont du domaine de ce que l’on pourrait appeler l’investissement d’équilibre où l’on accepte volontiers de perdre de l’argent pour garantir la stabilité sociale. Remettre en cause maintenant ces choix validés par toutes les composantes de la société tunisienne est-il possible après plusieurs décennies de travail ? Se taire face à la dilapidation des deniers publics et à la pratique, jusqu’ici courante, de la surcharge de ces entreprises publiques par un nombre incalculable d’employés est-il encore possible et économiquement acceptable, pour s’opposer à la privatisation qui sauve le patrimoine économique du pays ? L’administration pourra-t-elle indéfiniment faire travailler tous les jeunes diplômés alors que tous nos jeunes désertent l’agriculture et refusent de travailler ailleurs que dans les zones côtières ?
Que veulent donc les employés ? Plus de salaires ? Les négociations sont presque ininterrompues pour des augmentations triennales qui tiennent compte du pouvoir d’achat de l’employé et des capacités de l’entreprise. Celle-ci est généralement créée par des crédits et des garanties que ne donne pas l’employé. Est-il possible de donner plus à l’employé ou d’accorder au propriétaire de l’entreprise un salaire égal à celui de l’employé sous l’excuse de l’effort du travailleur ? Est-il encore possible de se taire sur la question du rendement du travail et de l’employé alors que les économies concurrentes travaillent plus ?
Pourquoi n’entend-on la voix de la centrale syndicale ouvrière que lorsqu’il s’agit de négociations salariales et pas lorsqu’il s’agit de droits syndicaux ou de «droits acquis» ? Le syndicat ouvrier n’est-il pas un partenaire social et économique ? Que fait-il pour tenir ses troupes, les informer, les sensibiliser, les éduquer aux nouvelles conjonctures économiques, nationale et internationale ? Suffit-il seulement que le SG de l’UGTT se désolidarise de ses troupes et des slogans de leur manifestation, pourtant devant sa porte et sur le perron de son bureau, pour dire que la centrale syndicale soutient l’action de l’Etat dont elle se revendique pourtant partenaire ?
Pourquoi le SG de l’UGTT n’est-il pas sorti faire un discours pour calmer les esprits de quelques brebis galeuses et pour mettre fin à l’effet d’entraînement, destructeur pour l’économie des entreprises qui leur servent pourtant des salaires à chaque fin de mois ? Pourquoi la centrale syndicale ne participerait-elle pas à l’effort et à la campagne d’explication et d’information à propos du programme économique du pays et des mesures prises par le Chef de l’Etat, pour répondre aux besoins, justement, des travailleurs et des chercheurs d’emplois ? Pourquoi n’organiserait-elle pas des séminaires régionaux pour expliquer la conjoncture que vit le pays et les défis que lui impose la conjoncture internationale ?
Le syndicat ouvrier connaît les réalités du pays, mieux que quiconque et peut-être mieux que l’Administration. Ignore-t-il qu’on peut vivre mieux et plus à l’intérieur du pays avec un salaire de 500 DT que dans les zones côtières ? Les salaires sont pourtant les mêmes partout dans le pays. Il sait aussi qu’on manque de cadres à l’intérieur du pays et que des administrations, comme celle de la santé publique, fait encore appel à des médecins étrangers, car nos jeunes diplômés ne veulent travailler que dans les régions côtières. Pourquoi ne s’adresserait-il pas à ces jeunes pour leur dire les sacrifices que consentent leurs parents pour les éduquer et les préparer au monde du travail et conduire ainsi des campagnes de localisation des cadres tunisiens dans les zones de l’intérieur du pays ? N’est-ce pas là aussi le rôle d’un partenaire dans une marche commune vers le développement intégral de la Tunisie ou bien certains courants au sein de l’UGTT se seraient-ils transformés en force d’opposition en Tunisie ?
Le syndicat ouvrier connaît aussi les méfaits du marché parallèle sur l’économie tunisienne et sur l’entreprise dont il tire les salaires de ses adhérents. Il sait parfaitement aussi le nombre de «chômeurs» et de «chercheurs d’emplois » qui ont préféré vendre la terre de leurs aînés pour acheter des camionnettes et se reconvertir dans le «commerce» [par ailleurs illégal comme il le sait] transfrontalier qui mine l’entreprise et l’économie. On ne l’a pourtant jamais vu dénoncer cela et appeler ses troupes à plus de patriotisme économique.
En un mot, l’UGTT ne semble pas encore jouer son rôle de vrai partenaire économique et social dans le pays, et ses cadres semblent aussi plus engagés dans les tribunes électorales que dans les tribunes économiques pour un développement intégral de la Tunisie. Il est temps pour lui de le faire.
Source: http://www.africanmanager.com/articles/131158.html?pmv_nid=1
Tragic royal PRINCESS DIANA has come to the conclusion her death in 1997 was the result of a "well-planned accident", according to top Hollywood psychic KENNY KINGSTON.
The famous spirit seeker contacted the Duchess of Windsor, a former client when she was alive, during a seance at his Studio City, Los Angeles home last week (ends27Aug10) - and she introduced Kingston to Diana.
Kingston tells WENN, "The Duchess of Windsor originally greeted Diana on the other side because she felt a kinship to her, as both had been stripped of their royal titles. The Duchess looked immaculate in a white gown and she soon brought in Diana, looking radiant in a royal blue gown.
"Diana told me she continues to watch over her 'boys,' as she still refers to them. She thinks Prince William will be the next monarch, with or without a wife and she is very proud of Prince Harry and the training he's received and feels there are great plans for him."
But it was the revelations about her death that fascinated Kingston: "Diana has come to the conclusion that the tragedy in the Alma Tunnel was no mistake. She said, 'It may have been an accident, but it was a well-planned one.' This is contrary to what Diana's spirit had conveyed to me during a previous seance many years ago. It has taken her this period of time, she says, to gain her strength and to be able to see the truth."
And Kingston reveals it was his eerie prediction in a British newspaper that put her on alert during her final weeks.
The psychic adds, "Diana told me that when she told her butler, Paul Burrell, that she feared for her safety and sensed a danger period around a car, she was referring to my aura reading, which I revealed in the Daily Star newspaper. The aura reading had warned her of a danger period from July to November around fast-moving cars, and Diana took it to heart."
And the seance ended on a chilling note - Diana reported that a prominent member of the Royal Family will die before the end of 2011.
Princess Diana died in a car crash in Paris, France on 31 August, 1997.
MICHAEL JACKSON's stage costumes, original paintings and iconic Swarovski crystal glove and a velvet ball gown worn by PRINCESS DIANA are the highlights of top auction house Julien's first Asian pop culture sale.
The items will go under the hammer on 9 October (10) at the Ponte 16 resort in MACau, China.
Other lots will feature memorabilia from Ghostbusters, the Batman film franchise and The Last Samurai, and there will also be items from the lives and careers of Madonna, Elvis Presley and Marilyn Monroe.
SOURCE: http://www.contactmusic.com/news.nsf/story/jackson-glove-and-dianas-dress-are-highlights-of-china-auction_1163401
Former British Prime Minister TONY BLAIR has spoken candidly about PRINCESS DIANA's death in a new TV interview, revealing he was "worried for her" when she started dating multi-millionaire playboy DODI FAYED after splitting from PRINCE CHARLES.
Blair took office months before the princess died in a car crash in a Paris, France tunnel in 1997 and admits it was one of the first major tragedies he had to face as Prime Minister.
But, in an interview with newswoman Christiane Amanpour on Good Morning America on Thursday (02Sep10), the politician revealed he was worried something terrible would happen.
He said, "I was worried because it (her relationship with Fayed) was obviously going to be extremely difficult. And I wanted her to know what the implications and consequences of all of it was going to be."
Blair admits that, like most of Britain, he struggled to come to terms with the tragedy, adding, "Partly because of the loss, but partly because of the circumstances in which she died, there was also a sense of anger.
"Some of that anger was directed at the paparazzi, but some of it, I think, was directed at the establishment that people felt had let her down in some way."
SOURCE: http://www.contactmusic.com/news.nsf/story/blair-i-told-princess-diana-of-my-concerns_1163553